Mémo
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Mémo
Pour les nouveaux arrivants de l'Association, un petit mémo sous forme de dessins et de photos.
D'autres documents suivront...
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Invité- Invité
Re: Mémo
Salut La Flamme !
Ca fait plaisir de te revoir ! ! !
Fais un bisou à Chou de ma part.
Et à bientôt, ...le havresac me démange et mon Charleville trépigne d'impatience . . .
Ca fait plaisir de te revoir ! ! !
Fais un bisou à Chou de ma part.
Et à bientôt, ...le havresac me démange et mon Charleville trépigne d'impatience . . .
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"...Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, souriant à la mitraille anglaise, la Garde Impériale entra dans la fournaise ..." ( V. HUGO)
"... Un homme n'est jamais aussi grand, que lorsqu'il s'agenouille, pour aider un enfant ..."
"... Il dort, quoique la vie, pour lui, fut bien étrange, il vivait. Il mourut lorsqu'il n'eut plus son ange. La chose se fit doucement, pas à pas, comme vient la nuit lorsque le jour s'en va ..." (V.HUGO. Les Misérables)
La Poudre- Grenadier
-
Nombre de messages : 3534
Age : 68
Date d'inscription : 23/06/2006
Re: Mémo
Super, merci La Flamme, sa sera surement très utile
Théobald- Fusilier-Grenadier
-
Nombre de messages : 299
Age : 29
Date d'inscription : 21/09/2009
Re: Mémo
Salut La Poudre,
Y a du y avoir un "bug", je t'avais répondu hier soir, et j'vois pas l'message ....
J'ai transmis le bisou à Chou, et nous reprenons le chemin des bivouacs. J'aurai encore beaucoup de travail tout le mois de mars, jusqu'à début avril, ensuite, normalement cela devrait s'éclaircir.
Nous sommes vraiment ravi de tous vous retrouver, de plus, les Jeunots y assurent bien.
Dommage que tu ne sois pas venu à Brienne, c'était tip top, mais bon, je crois que nous pourrons le refaire sans problème.
Un bisou à toi ainsi qu'à ta moitié.
Y a du y avoir un "bug", je t'avais répondu hier soir, et j'vois pas l'message ....
J'ai transmis le bisou à Chou, et nous reprenons le chemin des bivouacs. J'aurai encore beaucoup de travail tout le mois de mars, jusqu'à début avril, ensuite, normalement cela devrait s'éclaircir.
Nous sommes vraiment ravi de tous vous retrouver, de plus, les Jeunots y assurent bien.
Dommage que tu ne sois pas venu à Brienne, c'était tip top, mais bon, je crois que nous pourrons le refaire sans problème.
Un bisou à toi ainsi qu'à ta moitié.
Invité- Invité
Mémo suite.
Je reviens, sur la platine, ou l'image ci-dessous est plus explicite que la première que je vous avais présenté.
La face interne étant plus détaillée
Amicalement.
La face interne étant plus détaillée
Amicalement.
Invité- Invité
Re: Mémo
Voici le descriptif d'un élément très important du fusil...la baïonnette.
Planche tirée (comme les autres) du Baudriot, je les ai remise en page et j'y ai apporté un peu de couleur dans les annotations.
Amicalement.
Planche tirée (comme les autres) du Baudriot, je les ai remise en page et j'y ai apporté un peu de couleur dans les annotations.
Amicalement.
Invité- Invité
Re: Mémo
Cette interessante rubrique me donne envie d'organiser, quand l'occasion se présenterait, un atelier aussi bien pour nous que pour le public, de démontage, remontage et nettoyage complet ( jusqu'au dernier axe ou vis ! ) de nos armes, avec gravures et explications.
Le remontage, les yeux bandés me paraît important aussi, car on a souvent recours au visuel, à la lumière du jour.
Mais de nuit ! Qu'en est il ?
Pouvoir identifier une pièce et la positionner sans doute possible dans la procédure de remontage me parait, tout aussi, important.
Donnez moi votre avis sur le sujet et si cela vous interesse, on va pouvoir proposer un atelier aussi enrichissant pour nous que pour les passionnés qui viendraient nous renconter
Le remontage, les yeux bandés me paraît important aussi, car on a souvent recours au visuel, à la lumière du jour.
Mais de nuit ! Qu'en est il ?
Pouvoir identifier une pièce et la positionner sans doute possible dans la procédure de remontage me parait, tout aussi, important.
Donnez moi votre avis sur le sujet et si cela vous interesse, on va pouvoir proposer un atelier aussi enrichissant pour nous que pour les passionnés qui viendraient nous renconter
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"...Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, souriant à la mitraille anglaise, la Garde Impériale entra dans la fournaise ..." ( V. HUGO)
"... Un homme n'est jamais aussi grand, que lorsqu'il s'agenouille, pour aider un enfant ..."
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La Poudre- Grenadier
-
Nombre de messages : 3534
Age : 68
Date d'inscription : 23/06/2006
Re: Mémo
Alors là je dis sans problème. Faire des "ateliers", c'est aussi faire vivre un bivouac, surtout lors de sorties comme celle du week-end dernier (par exemple).
Il pourrait y avoir également un petit atelier cuir, toutes les idées de ce type sont franchement les bienvenues. Le public est toujours avide de découverte, donc, quoi de plus sympa que de leur expliquer la vie des soldats en campagne.
En ce qui concerne, le montage les yeux bandés, je ne pense pas que cela existait à l'époque, c'est beaucoup plus moderne. Mais simplement le fait d'avoir un groupe de personnes devant soit et d'expliquer l'art du démontage, avec le descriptif de chaque élément, ainsi que le remontage prend un certain temps, d'autant qu'il semble évident, que les questions vont fuser.
Excellente idée mon Cher la Poudre, à soumettre sans problème.
Il pourrait y avoir également un petit atelier cuir, toutes les idées de ce type sont franchement les bienvenues. Le public est toujours avide de découverte, donc, quoi de plus sympa que de leur expliquer la vie des soldats en campagne.
En ce qui concerne, le montage les yeux bandés, je ne pense pas que cela existait à l'époque, c'est beaucoup plus moderne. Mais simplement le fait d'avoir un groupe de personnes devant soit et d'expliquer l'art du démontage, avec le descriptif de chaque élément, ainsi que le remontage prend un certain temps, d'autant qu'il semble évident, que les questions vont fuser.
Excellente idée mon Cher la Poudre, à soumettre sans problème.
Invité- Invité
Re: Mémo
Quand je propose un atelier " les yeux bandés " je ne le concevais pas au pied de la lettre, mais je suis sûr que bien souvent, le soir tombé et la lumière se faisant plus chiche, les soldats devaient plus souvent tâter les differents éléments composant leur fusil, faute de les voir clairement.
Le sergent Bourgogne, ayant perdu son fusil, après une chute dans la neige de Russie, l'avait retrouvé rien qu'en "le sentant sous sa main et le reconnaissant ainsi "
Est on sûr que les soldats de l'époque ne s'entrainaient pas, la nuit venue, à démonter et remonter leurs armes, afin d'être toujours plus réactifs ?
Des avis là-dessus ? ? ?
Le sergent Bourgogne, ayant perdu son fusil, après une chute dans la neige de Russie, l'avait retrouvé rien qu'en "le sentant sous sa main et le reconnaissant ainsi "
Est on sûr que les soldats de l'époque ne s'entrainaient pas, la nuit venue, à démonter et remonter leurs armes, afin d'être toujours plus réactifs ?
Des avis là-dessus ? ? ?
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"...Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, souriant à la mitraille anglaise, la Garde Impériale entra dans la fournaise ..." ( V. HUGO)
"... Un homme n'est jamais aussi grand, que lorsqu'il s'agenouille, pour aider un enfant ..."
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La Poudre- Grenadier
-
Nombre de messages : 3534
Age : 68
Date d'inscription : 23/06/2006
Re: Mémo
Fusilier-grenadier 1809 - 1813 grande tenue de service.
Dernière édition par La Flamme le Dim 31 Oct 2010 - 15:50, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mémo
Tenues de fusilier-grenadier en capote 1809 - 1813, et en tenue de route durant la campagne de saxe 1813.
Invité- Invité
Re: Mémo
Le Briquet Modèle An XI.
Sources : Le sabre d'infanterie (Briquet) modèle An IX et An XI. Par Gérard Jaeger. Tradition Magazine n° 163.
La monture, en laiton, est toujours coulée d'une seule pièce, mais, l'avant de la poignée est moins incurvée que celle de l'An IX et ne présente plus que 28 cannelures.
Une calotte, à longue queue ciselée, recouvre le dos de la poignée ; sur le dessus de la calotte une pièce de rivure en forme de dôme, coiffe l'ensemble.
La branche de garde, identique à celle de l'An IX, décrit un arc de cercle régulier, s'élargit au passage de la poignée et se prolonge côté dos, formant le quillon en se recourbant vers la pointe, s'enroulant, formant un simple bouton.
Sur la branche côté contre-garde, vers le milieu de celle-ci on voit gravé "Versailles", en effet, depuis le 14 fructidor an VIII, Versailles doit monter la moitié des armes de troupes, montées dans leur totalité jusqu'alors par Klingenthal, Klingenthal fournissant les lames.
A côté du nom de la Manufacture se trouve le poinçon K, utilisé par Krantz Joseph Innocent, chef de bataillon, directeur à Versailles du 31 juillet 1814 au 31 mars 1816 ; sur la croisière se trouve le poinçon B, surmontée d'une étoile, poinçon que l'on retrouve côté garde de la branche de la branche de garde ainsi que sur le bouton du quillon, ce poinçon est utilisé par Bick Philippe, contrôleur de 2e classe à Versailles du 2 décembre 1813 jusqu'à la fermeture de la Manufacture le 22 septembre 1818.
La lame est plate après un petit talon de 7 mm ; pointe dans le prolongement du dos, qui suit un contre-tranchant de 8 cm ; légèrement courbe, flèche de 2.2 cm, elle est longue de 59.3 cm, large de 3.1 cm, et épaisse au talon de 0.95 cm.
Près du talon, sur le plat côté garde, on retrouve 3 poinçons de Klingenthal, d'abord le L de Lobstein, réviseur du 15 juin 1804 au 27 juillet 1821, puis le B entouré d'un collier d'anneaux de Bick Jean Georges, contrôleur de 1ère classe du mois de mai 1815 au 1er août 1824 et enfin le B surmonté d'une étoile à 5 branches de Broson Etienne Louis Inspecteur du 1er août 1814 au 31 août 1816.
Le fourreau est en cuir noir, équipé de 2 garniture en laiton. La chape est maintenant coupée droite sur le cuir, elle est munie, côté garde, d'un pontet en laiton situé à 3.3 cm de l'entrée, soit à peu près au milieu de la garniture qui fait 6 cm de long, il faut noter que le pontet situé au milieu de la chape est la caractéristique, des fourreaux "Empire".
Sur le pontet est cousue la languette de buffle, dispositif plus solide que sur l'An IX.
La bouterolle, coupée droite sur le cuir, semblable à celle de l'An IX est longue de 8.3 cm. Les 2 garnitures sont collées et agrafées côté contre-garde, le cuir est cousu côté contre-garde, et l'on retrouve les traits de molette côté garde.
On retrouvera ce sabre au Second Empire, porté par les Gendarmes d'élite à pied de la Garde.
Une calotte, à longue queue ciselée, recouvre le dos de la poignée ; sur le dessus de la calotte une pièce de rivure en forme de dôme, coiffe l'ensemble.
La branche de garde, identique à celle de l'An IX, décrit un arc de cercle régulier, s'élargit au passage de la poignée et se prolonge côté dos, formant le quillon en se recourbant vers la pointe, s'enroulant, formant un simple bouton.
Sur la branche côté contre-garde, vers le milieu de celle-ci on voit gravé "Versailles", en effet, depuis le 14 fructidor an VIII, Versailles doit monter la moitié des armes de troupes, montées dans leur totalité jusqu'alors par Klingenthal, Klingenthal fournissant les lames.
A côté du nom de la Manufacture se trouve le poinçon K, utilisé par Krantz Joseph Innocent, chef de bataillon, directeur à Versailles du 31 juillet 1814 au 31 mars 1816 ; sur la croisière se trouve le poinçon B, surmontée d'une étoile, poinçon que l'on retrouve côté garde de la branche de la branche de garde ainsi que sur le bouton du quillon, ce poinçon est utilisé par Bick Philippe, contrôleur de 2e classe à Versailles du 2 décembre 1813 jusqu'à la fermeture de la Manufacture le 22 septembre 1818.
La lame est plate après un petit talon de 7 mm ; pointe dans le prolongement du dos, qui suit un contre-tranchant de 8 cm ; légèrement courbe, flèche de 2.2 cm, elle est longue de 59.3 cm, large de 3.1 cm, et épaisse au talon de 0.95 cm.
Près du talon, sur le plat côté garde, on retrouve 3 poinçons de Klingenthal, d'abord le L de Lobstein, réviseur du 15 juin 1804 au 27 juillet 1821, puis le B entouré d'un collier d'anneaux de Bick Jean Georges, contrôleur de 1ère classe du mois de mai 1815 au 1er août 1824 et enfin le B surmonté d'une étoile à 5 branches de Broson Etienne Louis Inspecteur du 1er août 1814 au 31 août 1816.
Le fourreau est en cuir noir, équipé de 2 garniture en laiton. La chape est maintenant coupée droite sur le cuir, elle est munie, côté garde, d'un pontet en laiton situé à 3.3 cm de l'entrée, soit à peu près au milieu de la garniture qui fait 6 cm de long, il faut noter que le pontet situé au milieu de la chape est la caractéristique, des fourreaux "Empire".
Sur le pontet est cousue la languette de buffle, dispositif plus solide que sur l'An IX.
La bouterolle, coupée droite sur le cuir, semblable à celle de l'An IX est longue de 8.3 cm. Les 2 garnitures sont collées et agrafées côté contre-garde, le cuir est cousu côté contre-garde, et l'on retrouve les traits de molette côté garde.
On retrouvera ce sabre au Second Empire, porté par les Gendarmes d'élite à pied de la Garde.
Sources : Le sabre d'infanterie (Briquet) modèle An IX et An XI. Par Gérard Jaeger. Tradition Magazine n° 163.
Invité- Invité
Re: Mémo
Interessants ces petits détails techniques liés à nos briquets, surtout les marquages et autres poinçons.
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"...Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, souriant à la mitraille anglaise, la Garde Impériale entra dans la fournaise ..." ( V. HUGO)
"... Un homme n'est jamais aussi grand, que lorsqu'il s'agenouille, pour aider un enfant ..."
"... Il dort, quoique la vie, pour lui, fut bien étrange, il vivait. Il mourut lorsqu'il n'eut plus son ange. La chose se fit doucement, pas à pas, comme vient la nuit lorsque le jour s'en va ..." (V.HUGO. Les Misérables)
La Poudre- Grenadier
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Nombre de messages : 3534
Age : 68
Date d'inscription : 23/06/2006
Re: Mémo
La baguette du fusil, des pistolets, carabines et mousquetons, est en fer. Elle sert à bourrer les armes, et le soldat doit absolument prendre garde de ne pas l'oublier dans le fusil après la charge.
Pointue par le bout qui s'engage dans les tenons, la baguette dispose d'une tête plate à l'autre bout. En règle générale, l'officier qui fait l'inspection des armes, laisse tomber la baguette dans le canon pour s'assurer de sa propreté, et pour savoir s'il est ou n'est pas chargé.
Pour l'anecdote :
Le général Jean-Pierre Mahler fut tué, dans un exercice à feu, à Valladolid le 13 mars 1808, par une baguette de fusil oubliée dans le canon, et qui, lui traversa le crâne.
Pointue par le bout qui s'engage dans les tenons, la baguette dispose d'une tête plate à l'autre bout. En règle générale, l'officier qui fait l'inspection des armes, laisse tomber la baguette dans le canon pour s'assurer de sa propreté, et pour savoir s'il est ou n'est pas chargé.
Pour l'anecdote :
Le général Jean-Pierre Mahler fut tué, dans un exercice à feu, à Valladolid le 13 mars 1808, par une baguette de fusil oubliée dans le canon, et qui, lui traversa le crâne.
Invité- Invité
Re: Mémo
Je veux les tambours mais pas en grande tenue
La Vannette- Vivandière
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Nombre de messages : 1230
Date d'inscription : 16/02/2005
Re: Mémo
Merci La Flamme pour ces documents très instructifs. A bientôt sur un prochain bivouac pour mettre tout cela en application.
L'élégant- Caporal des Grenadiers
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Nombre de messages : 960
Age : 34
Date d'inscription : 24/10/2010
Re: Mémo
Merci à toi Adrien, tout le plaisir est pour moi, et se sera avec plaisir que nous nous retrouverons sur un prochain bivouac, pour de nouvelles aventures.........
Invité- Invité
Re: Mémo
Je me joins à Adrien, pour te remercier, cher La flamme. je suis un lecteur attentif de tous tes messages.
Tu dois en avoir de la doc, dit donc.
Tu dois en avoir de la doc, dit donc.
Invité- Invité
Re: Mémo
Cela fait quelques années que je mets de côté tout ce qui touche au Ier Empire, entre les magazines, les livres, les documents que j'ai sur CD / DVD, cela commence à prendre un peu de place.
J'ai lu avec beaucoup d'attention ton article sur Eylau et étant originaire du Doubs, et ayant de la famille en Hte-Saône, je ne savais pas que le 14e de Ligne puisait dans le Dpt de la Hte-Marne.
Je te remercie également pour ton petit message, ainsi que pour ta participation sur le forum
J'ai lu avec beaucoup d'attention ton article sur Eylau et étant originaire du Doubs, et ayant de la famille en Hte-Saône, je ne savais pas que le 14e de Ligne puisait dans le Dpt de la Hte-Marne.
Je te remercie également pour ton petit message, ainsi que pour ta participation sur le forum
Invité- Invité
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