L'infanterie Légère en 1815
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L'infanterie Légère en 1815
Sur le plan de l'équipement, de l'entraînement et de l'utilisation, il n'y a aucune distinction entre un régiment de Ligne et un régiment d'infanterie Légère. Les seules différences relevaient de questions d'uniformes et d'appelations.
Dans un bataillon léger, les fusiliers étaient devenus des chasseurs, les grenadiers des carabiniers.
Seule différence notable, la doublure, visible aux revers et aux retroussés, était bleus et non blanche ; de plus les passepoils étaient blancs au lieu de rouges. Boutons et plaques du shako étaient en métal blanc et non en bronze ; les gorgerins des officiers étaient simplement argentés.
Dans quelques bataillons, les carabiniers conservaient le bonnet à poil, en dépit du règlement de 1812, consacrant son abolition. Dans toutes les compagnies de carabiniers les manches étaient passepoilées de la même façon que dans les compagnies légères. Sous-officiers et soldats portaient le sabre-briquet et, ce point mis à part, les régiments légers étaient dotés du même équipement que les régiments de ligne. Cependant, le sabre des officiers etait plus courbe.
1. Veste de carabinier (sous-officier ou soldat).
2. Veste de voltigeur (sous-officier ou soldat).
3. Veste de chasseur (sous-officier ou soldat d'une compagnie ordinaire du bataillon).
4. Shako de voltigeur ou de chasseur. Les signes distinctifs des officiers étaient identiques à ceux des officiers de l'Infanterie de ligne, sauf que les passements étaient argent.
5. Bouton.
6., 7., 8. et 9. Les sous-officiers portaient des insignes distinctifs identiques à ceux de l'Infanterie. Toutefois, les sous-officiers les plus gradés avaient des galons argent (et non or), et les moins gradés des soutaches en laine rouge.
Sources : Uniformes des armées de Waterloo 1815 par Mr Ugo Pericoli.
Dans un bataillon léger, les fusiliers étaient devenus des chasseurs, les grenadiers des carabiniers.
Seule différence notable, la doublure, visible aux revers et aux retroussés, était bleus et non blanche ; de plus les passepoils étaient blancs au lieu de rouges. Boutons et plaques du shako étaient en métal blanc et non en bronze ; les gorgerins des officiers étaient simplement argentés.
1. Chef de bataillon 2. Soldat de la 1ère compagnie de Chasseurs 3. Sergent-major d'une compagnie de carabiniers, ayant plus de quatorze ans de service.
Dans quelques bataillons, les carabiniers conservaient le bonnet à poil, en dépit du règlement de 1812, consacrant son abolition. Dans toutes les compagnies de carabiniers les manches étaient passepoilées de la même façon que dans les compagnies légères. Sous-officiers et soldats portaient le sabre-briquet et, ce point mis à part, les régiments légers étaient dotés du même équipement que les régiments de ligne. Cependant, le sabre des officiers etait plus courbe.
1. Veste de carabinier (sous-officier ou soldat).
2. Veste de voltigeur (sous-officier ou soldat).
3. Veste de chasseur (sous-officier ou soldat d'une compagnie ordinaire du bataillon).
4. Shako de voltigeur ou de chasseur. Les signes distinctifs des officiers étaient identiques à ceux des officiers de l'Infanterie de ligne, sauf que les passements étaient argent.
5. Bouton.
6., 7., 8. et 9. Les sous-officiers portaient des insignes distinctifs identiques à ceux de l'Infanterie. Toutefois, les sous-officiers les plus gradés avaient des galons argent (et non or), et les moins gradés des soutaches en laine rouge.
Sources : Uniformes des armées de Waterloo 1815 par Mr Ugo Pericoli.
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